Don de soi : source de satisfaction et de bien-être… mais jusqu’où ?

Don de soi: quelles limites ?

Certaines personnes ont ce réflexe profondément ancré : donner.

Donner leur temps, leur énergie, leur écoute, leur attention, leur amour.

Pas parce qu’on leur a demandé.

Pas pour être remerciées.

Mais parce que c’est dans leur nature.

Je pense à vous, qui êtes peut-être en train de lire ces lignes.

Vous qui, naturellement, avez cette capacité à vous rendre disponible pour les autres, à être présente, à accompagner, à soutenir, à soigner, à éduquer.

Vous qui sentez, souvent avant même qu’on parle, qu’il y a un besoin, un malaise, une peine à alléger.

Vous êtes de ces personnes honorables, qui rendent ce monde plus humain.

Par vos gestes, vos paroles, votre engagement.

Vous contribuez, à votre échelle, à construire quelque chose de plus beau, de plus solidaire.

Ce besoin d’aider : une force… et parfois un piège

Donner, être là, aider…vous apporte souvent une vraie satisfaction.

Le sentiment d’être utile, à votre place, d’avoir un impact positif, d’avoir « bien » fait.

Ce petit frisson intérieur quand on se dit : "Grâce à moi, ça a été un peu mieux aujourd’hui."

Peut-être qu’enfant déjà, vous sentiez qu’il fallait "prendre sur vous", "tenir bon", "ne pas déranger", être fiable, être forte.

Peut-être que le regard de l’autre, son soulagement, son sourire, sa reconnaissance – même muette – vient nourrir en vous quelque chose de profondément vital : le sentiment d’exister, de compter, d’être utile.

Mais cette générosité peut-elle avoir des limites ?Et si oui… où se trouvent-elles ?

Où sont les limites ?

La difficulté, c’est que les limites sont souvent floues pour celles et ceux qui donnent avec le cœur.

On se dit qu’on tiendra encore un peu.

Qu’on ne va pas laisser tomber.

Qu’on a toujours fonctionné comme ça.

Qu’on n’a pas le droit de lâcher.

Et en même temps on ressent de la fatigue, de l’agacement, une lassitude, une perte de sens, un sentiment d’être "vidée".

Et parfois ces pensées presque honteuses :"J’aimerais être seule », « ne plus avoir de sollicitation, juste une journée » « je suis où MOI, dans tout ça ? » »Et qui prend soin de moi ? »

Se donner… sans se perdre

On peut continuer à donner. Bien sûr.

Mais pas au détriment de soi.

Pas en sacrifiant sa santé mentale et/ou physique, sa joie de vivre, sa propre humanité.

Donner, oui.

Mais aussi apprendre à recevoir, à poser des limites, à dire non, à se reposer, à demander de l’aide, à écouter ses besoins.

Pas pour devenir égoïste.

Mais pour rester vivante, alignée, présente, dans un don qui nourrit au lieu d’épuiser.

Parce que c’est aussi ça, prendre soin des autres : commencer par soi.

Et retrouver le juste équilibre pour pouvoir mieux aimer, mieux donner, mieux être là.

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Et si c’était le moment de penser à vous ?

Si ces mots résonnent en vous, sachez que vous n’êtes pas seule.

Et surtout, souvenez-vous que vous méritez autant de soin et d’attention que vous en offrez aux autres.

✨ Vous avez le droit d’être fatiguée.

✨ Vous avez le droit de ralentir.

✨ Vous avez le droit de penser à vous.

🌱 Dans mon accompagnement, je vous offre un espace où vous pouvez déposer ce trop-plein, questionner vos automatismes de don, et surtout revenir à vous.

Pas pour cesser d’aider.

Mais pour le faire autrement, dans le respect de vos besoins, de vos rythmes, de votre équilibre.

✨ Mes clientes disent souvent qu’elles ressortent de nos séances :

– plus claires dans leurs priorités,

– soulagées de pouvoir poser des limites sans culpabilité,

– reconnectées à ce qui les anime profondément,

– avec un nouveau souffle, une nouvelle énergie.

🌸 Vous méritez, vous aussi, un espace pour vous recentrer.

📩 Je vous propose une séance découverte gratuite, pour faire le point ensemble, en toute simplicité, sans engagement.

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Vous avez tant à offrir au monde…Et si on commençait par vous offrir un moment à vous ?